Frotte, frotte le parquet
Nettoie, essuie le sol
Sur les étagères range les paquets
Dans le rayon lessives ou alcool
Obéis aux ordres du chef, du directeur
Dis bonjour, sois poli
Courbe l’échine, baisse la tête
La couleur de ta peau te rend moins joli
Mais le soir, seul chez toi
Quand tu prends ta vieille guitare
Tu deviens un roi
Serais tu un prophète, un ambassadeur ?
Quand tu chantes le blues
Qui vit au fond de toi
Autour tout devient flou
Tu brilles comme une étoile
Tu tutoies les dieux
Tu communiques avec les cieux
Prends ton instrument
Fais nous connaître, reconnaître
Ce don, cette énergie qui ne ment
Et qui fera de toi un maître
Chante, joue sur ta guitare
Transmets nous cette lumière
Comme une folie, un nectar
Laisse sortir toute cette colère
Quand tu chantes le blues
Qui vit au fond de toi
Tu tutoies les dieux
Autour, tout devient flou
Tu brilles comme une étoile
Et communique avec les cieux
De grâce, je te supplie
Continue, continue encore
Je te demande de ne pas arrêter
Laisse moi encore communier
01 juillet 2007
dimanche 1 juillet 2007
A toi
Mille raisons n’y suffiraient pas
Cent hommes ne pourraient me forcer
L’ouragan ne me contraindra pas
Je ne veux, pas plus que Noé, m’incliner
Je n’ai pas la clé
Plus de proportion
Je ne veux plus crier, ne plus chanter
Mais est ce la solution
Mais ce soir, pour vous
Je veux me rappeler
Me souvenir de toi, de nous
Afin de ne pas t’oublier, t’effacer
Alors crions, chantons
Tous, le monde entier
Il faut vivre, crier
Pour enfin savoir s’aimer
Ne plus chercher midi à quatorze heures
Oublier les ennuis, les désaccords
Oublier tous les malheurs
De toutes les façons, tous les jours
Ne plus penser, oublier
Cette satanée infidélité
Qui fait que je n’ai plus la foi
Mais ce soir je ne veux plus chanter que pour toi.
30 juin 2007
Cent hommes ne pourraient me forcer
L’ouragan ne me contraindra pas
Je ne veux, pas plus que Noé, m’incliner
Je n’ai pas la clé
Plus de proportion
Je ne veux plus crier, ne plus chanter
Mais est ce la solution
Mais ce soir, pour vous
Je veux me rappeler
Me souvenir de toi, de nous
Afin de ne pas t’oublier, t’effacer
Alors crions, chantons
Tous, le monde entier
Il faut vivre, crier
Pour enfin savoir s’aimer
Ne plus chercher midi à quatorze heures
Oublier les ennuis, les désaccords
Oublier tous les malheurs
De toutes les façons, tous les jours
Ne plus penser, oublier
Cette satanée infidélité
Qui fait que je n’ai plus la foi
Mais ce soir je ne veux plus chanter que pour toi.
30 juin 2007
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