dimanche 13 mai 2007

Femme dans mon cœur

Ce soir je suis loin de toi,
Tu me manques, je voudrais me rapprocher de ton aura
De ton aura de femme moderne, de femme libre
Afin d’être un peu plus dépendant, un peu plus fébrile

Tu es la femme dans mon cœur
Tu es celle qui soulage ma douleur
Et même si les siècles nous séparaient
J’inventerai la machine qui nous rapprocherait

Je me sens quelquefois tellement petit
Devant ton corps qui donne la vie
Et face auquel tous mes muscles, toute mon audace
Fondent, s’effondrent, comme poudre dans une crevasse

Je voudrai ne plus jamais te quitter, t’abandonner
Mais je sais que les kilomètres, les miles ou les lieues
Ne sont rien et ne peuvent nous séparer, nous couper
Car notre amour réciproque ne saurait être mieux

Tu es la femme dans mon cœur
Tu es celle qui soulage ma douleur
Et même si les siècles nous séparaient
J’inventerai la machine qui nous rapprocherait

Malgré tout je suis comme un enfant sans sa maman
Comme un Sanson sans sa chevelure
Comme un Hercule pantelant et chancelant
Tu vois, sans toi se dispersent mon passé et mon futur

Et je ne sais plus si je suis vivant ou mort
Si je dois avoir raison ou bien tort
Si je peux encore avancer ou reculer
Et si je pourrais continuer ainsi et m’obstiner

Tu es la femme dans mon cœur
Tu es celle qui soulage ma douleur
Et même si les siècles nous séparaient
J’inventerai la machine qui nous rapprocherait


5 juillet 2005

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